Dimanche le 31 octobre — La descente vers le Sud - Le choix d’un camping — Jour 151 — USA - Jr 2
La route qui nous amène de Newburg (NY) à Williamsport (MD) se fait relativement bien. La 81 est confortable, la 84 qui précède est sportive…Mais le choix de camping qui aboutit à la fin de notre journée est une interrogation?
Aujourd’hui, dans le guide des campings KOA, il nous était mentionné de prendre la sortie numéro 2 qui nous amène sur la 11 sud vers Williamsport. Suivre les indications et fermer son GPS…
Nous avons suivi les indications et sommes aboutis dans un cul-de-sac…
Un gentil samaritain du dimanche, handicapé, nous a servi d’escorte pour nous amener au camping, et quel camping!
C’est un camping pour les artistes. Nous devrons puiser dans notre banque de gènes artistiques pour nous adapter au décor. Qui veut réussir, trouve rapidement les habits qu’il faut, surtout le soir de la fête de l’Halloween!
Lundi le 1er novembre — Changement de route — Jour 152 — USA – Jr 3
Suite à des discussions avec Jacques, le frère de Louise, nous poursuivons sur la 81 pour rejoindre la 77 jusqu’à Statesville où nous nous arrêtons. Cette route est plus intéressante en termes de circulation moins lourde et de beaux paysages. La chaussée est aussi excellente, contrairement à la
84 nous permettant de rejoindre la 81. Cette chaussée est à refaire… La direction de demain sera Savannah en Georgie en passant par la 77, la 26 pour rejoindre la 95. Ceci nous permettrait mercredi, pensons-nous, d’écourter la distance jusqu’à St-Augustine, d'y arriver tôt en début d’après-midi, de procéder au nettoyage intérieur et extérieur du Camino, de Blanche-Neige et de nos vêtements. Nous dormirions ainsi 2 soirs à St-Augustine et nous aurions la journée de jeudi pour visiter. Cette ville est la première mission espagnole en Floride et est le lieu du Musée du golf de la PGA aux USA.
Louise utilise le logiciel Skype pour communiquer avec son frère Jacques qui se détend avec son nouveau I-Pod. Suzanne, la doctorante que Louise co-dirige, communique avec le même logiciel pour l’informer de l’avancement de ses travaux et quelques autres bavardages…
Nous regardons l’ajustement du parcours de demain jusqu’à Savannah, douches, dodo. Bonne nuit.
P.S. Rosie a eu la visite surprise d’un très beau petit chat grisé tacheté de jaune. Comme il ne se nomme pas Zoé, ce n’est pas encore son ami. Dans sa promenade du soir, elle l’a senti, même s’il était couché sous un autre véhicule récréatif. Il n’y avait qu’une Zoé pour Rosie!
Mardi le 2 novembre — Du soleil plein la tête — Jour 153 — USA – Jr 4
La route se conduit facilement. Nous sommes d’ailleurs très surpris que la circulation soit si faible sur la 95. Le contournement de Charlotte, Columbia et Savannah se fait tout doucement et sans difficulté d’aiguillage. Nous prenons conscience que les 3 semaines où nous avons roulé vers New-York, Lancaster et Washington nous ont servi de pratiques rentables. Louise tient le volant depuis le départ et devrait nous amener jusqu’à Fort Lauderdale…C’est à suivre…
Nous nous arrêtons au sud de Savannah. Demain nous demeurerons ici et nous irons visiter le vieux Savannah restauré au moyen d’un ‘’Trolley Bus’’. La particularité de ce ‘’Trolley Bus’’ c’est qu’il nous prend à des stations précises aux 20 minutes. C’est comme un Bus de la ville mais orienté vers les points de visites recommandés. Nous faisons le reste du trajet par nos propres moyens, c’est-à-dire à pieds! Le tout débute au Centre d’information et dure de 9h00 à 17h00, transport aller-retour compris,
Sur le camping, alors que l’on visitait le lac grand de 35 acres où vivent cygnes, bernaches, canards et aigrettes entre autres, nous avons rencontré un couple d’ontariens, ex-producteurs de tabac. La particularité de cette rencontre est qu’ils ont presqu’exclusivement engagé des québécois comme cueilleurs de tabac et qu’ils continuent de leur rendre visite dans la Beauce. BRAVO pour cette marque de LOYAUTÉ à vous deux, cela vous honore.
Mercredi le 3 novembre — Jour de visite et de rencontres — Jour 154 — USA – Jr 5
Nous av
ons choisi de demeurer 2 jours à Savannah (GA) plutôt qu’à St-Augustine (FL). Nous partons du camping à 9h00 guidés par une femme énergique, Sue. En effet, nous sommes les seuls passagers à bord de son bus qu’elle conduit, comme un bolide, d’une seule main en nous regardant d’un œil, l’autre tourné à l’avant occasionnellement! Et elle parle, et elle parle, sans arrêt….
Elle cueille 2 autres passagers à un hôtel voisin et 2 autres s’ajoutent à la dernière minute. Une discussion s’ensuit avec le dernier passager qui choisit d’y aller en auto en suivant Sue dans le circulation. "Tu vas avoir la ride de ta vie, Charlie", lui mentionne une passagère qui en est à sa deuxième journée.
Nous arrivons à destination, tout comme Charlie d’ailleurs. Nous sommes invités à monter dans le ‘’trolley bus’’ conduit, de mains de maître par Net, dans les rues étroites et souvent à sens unique. Elle nous raconte, durant la tournée de 90 minutes l’histoire des édifices, des parcs, des fontaines et des maisons. Cette Net est d’ailleurs excellente dans ses commentaires et parlent un anglais d’une grande qualité, facile à saisir pour nous francophones. Merci Net, tu mérites ton pourboire!
Nous mangeons à un endroit de restauration rapide où la nourriture est préparée devant nous et dans des conditions d’une bonne qualité. Sue nous ramène au point de dép
art où nous visitons le musée de l’histoire de Savannah, achetons des cartes postales que la mère de Louise reçoit toujours avec plaisir. La suite est une longue promenade dans le quartier historique de Savannah que nous avons aperçu du haut du ‘’Trolley bus’’ et que, maintenant, nous vivons au ras des pâquerettes. La flore est luxuriante, les parcs sont de petits îlots de verdure avec leurs immenses arbres coiffés de cheveux de mousse comme dans les bayous de la Louisiane. Il faut comprendre qu’en période d’été, la température grimpe au-dessus de 90 degrés Fahrenheit et près de 100% d’humidité.
Les nombreux "squares" de verdure sont magnifiques! Assis sur un banc dans un parc, un couple, Lisa qui h
abite le Wisconsin et Mark lui, habite le Tennessee, nous prennent en photo parce que nous portons des chapeaux Tilly et une veste de cycliste rouge Louis Garneau. S’engage une conversation amusante avec ces inconnus avec lesquels nous sommes très à l’aise rapidement. Nous les reverrons d’ailleurs à la boutique de peanuts (oui, oui… Le « Peanut Shop ») sur la rue qui borde la rivière. Il faut savoir qu’en d’autres temps, Savannah a été un port prospère de transbordement pour le coton et les esclaves, malheureusement. Le retour pour la promenade avec Sue pour retourner au camping (22 milles) se fait sans les clients de la première heure. Charlie ayant sa propre voiture et les 2 dames ayant manqué l’heure du rendez-vous. Tant pis!
Malgré les réserves qui s’épuisent, Louise puise dans sa créativité et nous prépare de délicieuses crêpes aux choux de Bruxelles! Cela complète bien notre journée!
La route qui nous amène de Newburg (NY) à Williamsport (MD) se fait relativement bien. La 81 est confortable, la 84 qui précède est sportive…Mais le choix de camping qui aboutit à la fin de notre journée est une interrogation?
Aujourd’hui, dans le guide des campings KOA, il nous était mentionné de prendre la sortie numéro 2 qui nous amène sur la 11 sud vers Williamsport. Suivre les indications et fermer son GPS…
Nous avons suivi les indications et sommes aboutis dans un cul-de-sac…
Un gentil samaritain du dimanche, handicapé, nous a servi d’escorte pour nous amener au camping, et quel camping!
C’est un camping pour les artistes. Nous devrons puiser dans notre banque de gènes artistiques pour nous adapter au décor. Qui veut réussir, trouve rapidement les habits qu’il faut, surtout le soir de la fête de l’Halloween!
Lundi le 1er novembre — Changement de route — Jour 152 — USA – Jr 3
Suite à des discussions avec Jacques, le frère de Louise, nous poursuivons sur la 81 pour rejoindre la 77 jusqu’à Statesville où nous nous arrêtons. Cette route est plus intéressante en termes de circulation moins lourde et de beaux paysages. La chaussée est aussi excellente, contrairement à la
84 nous permettant de rejoindre la 81. Cette chaussée est à refaire… La direction de demain sera Savannah en Georgie en passant par la 77, la 26 pour rejoindre la 95. Ceci nous permettrait mercredi, pensons-nous, d’écourter la distance jusqu’à St-Augustine, d'y arriver tôt en début d’après-midi, de procéder au nettoyage intérieur et extérieur du Camino, de Blanche-Neige et de nos vêtements. Nous dormirions ainsi 2 soirs à St-Augustine et nous aurions la journée de jeudi pour visiter. Cette ville est la première mission espagnole en Floride et est le lieu du Musée du golf de la PGA aux USA.Louise utilise le logiciel Skype pour communiquer avec son frère Jacques qui se détend avec son nouveau I-Pod. Suzanne, la doctorante que Louise co-dirige, communique avec le même logiciel pour l’informer de l’avancement de ses travaux et quelques autres bavardages…
Nous regardons l’ajustement du parcours de demain jusqu’à Savannah, douches, dodo. Bonne nuit.
P.S. Rosie a eu la visite surprise d’un très beau petit chat grisé tacheté de jaune. Comme il ne se nomme pas Zoé, ce n’est pas encore son ami. Dans sa promenade du soir, elle l’a senti, même s’il était couché sous un autre véhicule récréatif. Il n’y avait qu’une Zoé pour Rosie!
Mardi le 2 novembre — Du soleil plein la tête — Jour 153 — USA – Jr 4
La route se conduit facilement. Nous sommes d’ailleurs très surpris que la circulation soit si faible sur la 95. Le contournement de Charlotte, Columbia et Savannah se fait tout doucement et sans difficulté d’aiguillage. Nous prenons conscience que les 3 semaines où nous avons roulé vers New-York, Lancaster et Washington nous ont servi de pratiques rentables. Louise tient le volant depuis le départ et devrait nous amener jusqu’à Fort Lauderdale…C’est à suivre…
Nous nous arrêtons au sud de Savannah. Demain nous demeurerons ici et nous irons visiter le vieux Savannah restauré au moyen d’un ‘’Trolley Bus’’. La particularité de ce ‘’Trolley Bus’’ c’est qu’il nous prend à des stations précises aux 20 minutes. C’est comme un Bus de la ville mais orienté vers les points de visites recommandés. Nous faisons le reste du trajet par nos propres moyens, c’est-à-dire à pieds! Le tout débute au Centre d’information et dure de 9h00 à 17h00, transport aller-retour compris,
Sur le camping, alors que l’on visitait le lac grand de 35 acres où vivent cygnes, bernaches, canards et aigrettes entre autres, nous avons rencontré un couple d’ontariens, ex-producteurs de tabac. La particularité de cette rencontre est qu’ils ont presqu’exclusivement engagé des québécois comme cueilleurs de tabac et qu’ils continuent de leur rendre visite dans la Beauce. BRAVO pour cette marque de LOYAUTÉ à vous deux, cela vous honore.
Mercredi le 3 novembre — Jour de visite et de rencontres — Jour 154 — USA – Jr 5
Nous av
ons choisi de demeurer 2 jours à Savannah (GA) plutôt qu’à St-Augustine (FL). Nous partons du camping à 9h00 guidés par une femme énergique, Sue. En effet, nous sommes les seuls passagers à bord de son bus qu’elle conduit, comme un bolide, d’une seule main en nous regardant d’un œil, l’autre tourné à l’avant occasionnellement! Et elle parle, et elle parle, sans arrêt….Elle cueille 2 autres passagers à un hôtel voisin et 2 autres s’ajoutent à la dernière minute. Une discussion s’ensuit avec le dernier passager qui choisit d’y aller en auto en suivant Sue dans le circulation. "Tu vas avoir la ride de ta vie, Charlie", lui mentionne une passagère qui en est à sa deuxième journée.
Nous arrivons à destination, tout comme Charlie d’ailleurs. Nous sommes invités à monter dans le ‘’trolley bus’’ conduit, de mains de maître par Net, dans les rues étroites et souvent à sens unique. Elle nous raconte, durant la tournée de 90 minutes l’histoire des édifices, des parcs, des fontaines et des maisons. Cette Net est d’ailleurs excellente dans ses commentaires et parlent un anglais d’une grande qualité, facile à saisir pour nous francophones. Merci Net, tu mérites ton pourboire!
Nous mangeons à un endroit de restauration rapide où la nourriture est préparée devant nous et dans des conditions d’une bonne qualité. Sue nous ramène au point de dép
art où nous visitons le musée de l’histoire de Savannah, achetons des cartes postales que la mère de Louise reçoit toujours avec plaisir. La suite est une longue promenade dans le quartier historique de Savannah que nous avons aperçu du haut du ‘’Trolley bus’’ et que, maintenant, nous vivons au ras des pâquerettes. La flore est luxuriante, les parcs sont de petits îlots de verdure avec leurs immenses arbres coiffés de cheveux de mousse comme dans les bayous de la Louisiane. Il faut comprendre qu’en période d’été, la température grimpe au-dessus de 90 degrés Fahrenheit et près de 100% d’humidité.Les nombreux "squares" de verdure sont magnifiques! Assis sur un banc dans un parc, un couple, Lisa qui h
abite le Wisconsin et Mark lui, habite le Tennessee, nous prennent en photo parce que nous portons des chapeaux Tilly et une veste de cycliste rouge Louis Garneau. S’engage une conversation amusante avec ces inconnus avec lesquels nous sommes très à l’aise rapidement. Nous les reverrons d’ailleurs à la boutique de peanuts (oui, oui… Le « Peanut Shop ») sur la rue qui borde la rivière. Il faut savoir qu’en d’autres temps, Savannah a été un port prospère de transbordement pour le coton et les esclaves, malheureusement. Le retour pour la promenade avec Sue pour retourner au camping (22 milles) se fait sans les clients de la première heure. Charlie ayant sa propre voiture et les 2 dames ayant manqué l’heure du rendez-vous. Tant pis!Malgré les réserves qui s’épuisent, Louise puise dans sa créativité et nous prépare de délicieuses crêpes aux choux de Bruxelles! Cela complète bien notre journée!
Jeudi le 4 novembre — Arrivée accélérée — Jour 155 — USA – Jr 6
Notre trajet reconstitué nous amenait aujourd’hui à Daytona. Compte tenu d’une température qui devient de plus en plus larmoyante, nous poursuivons successivement vers Smyrna, Titusville, Cap Carnaveral, Melbourne, Winter Beach, Vero Beach et nous aboutissons à Fort Pierce.
Nous sommes maintenant à 116 milles de notre destination pour le proc
hain mois, Fort Lauderdale. Demain, 2 heures de route suffiront pour atteindre cet objectif.Après avoir quitté la 95, nous avons traversé l’entièreté de la ville de Fort Pierce, soit 6 kilomètres, sur la ’’ Main Street ‘’ qui, à l’extrémité, se transforme en plage longeant la 1. Ce n’est pas l’endroit idéal pour promener notre équipement récréatif qui fait une longueur totale de 53 pieds, la longueur d’un fardier!
Louise a encore démontré son sang froid et ses talents! Quant à Michel, il a promené le chien à l’arrivée sous la pluie et harnaché le Camino dans les mêmes conditions.
Devinez qui est l’esclave de ce tandem? P.S. Vous vous trompez, c’est le chien Rosie…
Vendredi le 5 novembre — Laryngite et pharyngite combinée — Jour 156 — USA – Jr 7
Michel a dormi au salon dans le fauteuil berçant. Non, non, pas pour les raisons qui vous viennent immédiatement en tête. Il a importé du nord une laryngite/pharyngite carabinée dont lui seul a la recette.
Il tousse, il mouche, il glousse, il s’étouffe et il souffre comme tout homme à qui cela arrive!
Nous
prenons la route vers les 11h15 vers Fort Lauderdale. Il vente sur un fond d’air frais. Nous apercevons des palmiers, signe de beau temps et de chaleur! La circulation devient de plus en plus lourde à mesure que nous progressons vers le sud. Nous atteignons Fort Lauderdale, notre destination, vers 13h00.MAIS, il y a un mais. Nous ajoutons au moins 1 heure pour atteindre le terrain de camping. Le malheur c’est qu’il est à 5 coins de rue de notre arrivée et nous n’y sommes pas parvenus. Tout ça avec l’aide de nos 2 GPS et de l’information demandée à 3 personnes rencontrées…
Nous nous sommes trompés 3 fois d’embranchement et avons téléphoné au camping. Suite a ce téléphone, nous savons maintenant que l’entrée se situe tout de suite après celle du Ramada Inn.
Mal nous en pris, comme nous étions entrés précédemment dans une rue étroite, nous avions détaché Blanche-Neige. Louise qui conduit le Camino entre malencontreusement dans la rue voisine de l’hôtel Ramada Inn. Encore une fois, un déplacement à recoulons, se
rré dans une rue étroite. Nous y parvenons ENFIN!!!Les formalités complétées, incluant la promenade de Rosie, Michel et Louise, respectivement procèdent à l’installation extérieure et intérieure du véhicule. Comme nous sommes fixées ici pour un mois, Michel installe un nouveau filtre à eau. Malheur, un peu de poudre de charbon de bois s’écoule du filtre vers les chantepleures. Nous laissons couler l’eau quelques instants et le tout se résorbe. Pendant ce temps Louise s’occupe du lavage qui s’est accumulé durant notre descente. La buanderie étant peu achalandée, l’opportunité d’utiliser plusieurs appareils simultanément rendent l’opération efficace et rapide.
Murielle et Jacques qui habitent à Pompano l’hiver, à quelques enjambées, nous rendent visite. Jacques apprend que maintenant, dans la famille, il a de la concurrence au volant. Jacques a roulé samedi et dimanche derniers 28 heures pour venir de Lorraine à Pompano.
Louise a été la seule conductrice amenant le Camino qui tire Blanche-Neige, de St-Mathieu de Beloeil à Fort Lauderdale en 6 étapes consécutives, une distance longue de 2760 kilomètres incluant quelques erreurs de parcours!
BRAVO À VOUS DEUX!!!
Samedi le 6 novembre — Tant pis pour la s o u f f r a n c e. . . — Jour 157 —
USA – Jr 8
Michel a passé une nuit relativement calme. La souffrance de l’homme s’achève. Je dis bien, la souffrance, pas l’ho
mme!La journée se résume en 4 activités :
1) brossage du chien par Louise;
2) invitation à souper chez Murielle et Jacques à Pompano;
3) qualifications du GP du Brésil;
4) sieste pour notre homme malade.
Débutons par la plus importante, la sieste: deux heures de récupération fort utile. Elle s'est déroulée sans histoire, si ce n'est qu'elle a été partagée avec Rosie qui prend grand soin de Michel en ce moment.
Les qualifications du GP du Brésil ont présenté les surprises de la course sous la pluie. Deux Williams occupent 2 positions dans les 5 premières dont l’une en tête. Deux voitures propulsées par un moteur Cosworth. Du jamais vu depuis 1995. C’est surprenant voire, anormal…
Louise a fait de son chien Rosie, une perle rare en la brossant avec affection et tendres
se. C’est la seule façon d’agir avec Rosie, c’est sa marque de commerce reconnue par tous.L’invitation de Murielle et de Jacques était rafraichissante. Rosie adore sa marraine qui lui rend bien d’ailleurs. La visiter, demeure, pour Rosie, un privilège qui lui est exclusif!
La bouffe préparée avec plein d’attentions est excellente de surcroît. Cela nous fait chaud au cœur à Louise et à moi. De plus, de nombreuses informations pratiques de vie quotidienne dans le secteur sont généreusement offertes.
Merci Murielle et Jacques. Bons baisers de Rosie! XXX
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