Nous voilà de retour à Québec!

Nous voilà de retour à Québec!
Nous voilà de retour à Québec!

lundi 25 février 2013

Du 24 février au 2 mars

 Dimanche le 24 février — Vive les vacances — An 3/Jr 267 — USA /J 124
À son plus haut, le thermomètre nous indique 29 degrés C. (85 degrés F.).
Les activités habituelles de nos vacanciers sont à l'ordre du jour, Louise se prélasse à la piscine, Michel se dévoue sur un terrain de golf à proximité.
Bon pelletage les Nordistes! Sans rancune…
Nous vous envoyons du soleil afin de réchauffer vos corps, de remonter votre moral et de faire fondre un peu de cette abondante neige!

Lundi le 25 février — Rosie chez le toiletteur — An 3/Jr 268 — USA /J 125
Parlons de cette belle Rosie, notre petit chien de compagnie.
Je l’ai déjà dit, je le répète, sur un terrain de camping, il n’y a pas meilleur entremetteur. D'ailleurs, nous la voyons ici avec Tom, un travailleur qui ne rate pas une 'occasion de lui offrir des bons mots et des caresses, ce que Rosie apprécie grandement. Ils sont rapidement devenus d'excellents amis. 
Sa race est un «Coton de Tuléar». Les anglophones lui ont trouvé un nom plus descriptif, cela devient un «Cotton Tail». Ce nom décrit parfaitement sa queue au toucher et au regard. Elle est revenue toute pimpante, mais épuisée. Trois heures de toilettage passant par le bain, la douche, le séchage et enfin tailler le poil et les griffes, ce n’est pas une mince tâche et pour le toiletteur et pour le chien! D’ailleurs, une fois tous les deux mois lui suffit.
 Louise a fouiné dans les magasins en attendant cette belle Rosie. Je me suis occupé à lire des documents et un roman ayant comme base historique la guerre civile aux USA.
La température est chaude et humide dans le même maximum qu’hier, voisinant le 30 degrés C. (85 degrés F.). Votre pelletage est-il terminé, gens du Nord?
 
Mardi le 26 février — Journée plus nuageuse — An 3/Jr 269 — USA /J 126
La journée se déroule lentement, le soleil se cachant derrière des nuages plus présents. Nous en profitons pour faire quelques mises à jour et des sauvegardes à l’ordinateur et dans nos différents dossiers.
Lecture et musique seront nos calmes compagnons du jour.
 
Mercredi le 27 février — Journée pluvieuse — An 3/Jr 270 — USA /J 127
Elle est arrivée à 12h00, elle n’était pas au rendez-vous comme annoncée à 8h00. La pluie s’est manifestée par secousse toute la journée.
Tombe, s’arrête, retombe, s’enfuit, revient. Elle se manifeste puis se cache, elle joue au chat et à la souris avec nous.
Que faire? Se préparer pour le départ vers la côte-Est de la Floride vendredi. Faire le ménage, nettoyer l'intérieur, se ramasser; une autre journée d’ajustement et de mise à jour.

Jeudi le 28 février — Bonne Fête Rosie! — An 3/Jr 271 — USA /J 128
Aujourd’hui, Rosie a la vedette! En effet, c’est le jour de son 6e anniversaire. Bonne Fête Rosie!
De plus, son nouveau toilettage lui attire les regards admiratifs de plusieurs. Elle ne s’en plaint pas du tout. D'ailleurs, elle accepte les compliments avec beaucoup de grâce! Elle se laisse facilement approcher et cajoler!
Et voilà que Mike, le gérant du camping, nous demande de revenir l’an prochain car il aimerait que Rosie devienne la mascotte de la place! Il s’agit d’un pensez-y bien… elle pourrait devenir vaniteuse!
Nous t’aimons comme tu es Rosie, douce et heureuse! Chaque jour nous apprécions ta merveilleuse présence auprès de nous!
 
Vendredi le 1er mars — Court déplacement — An 3/Jr 272 — USA /J 129
Nous nous déplaçons de Naples à Fort Lauderdale by the Sea (Pompano), une courte distance de 160 km (100 milles) sur la 75 Est, par temps ensoleillé.
Mais d'abord, nous avons deux difficultés techniques à résoudre. Une première est celle de l’extension du salon/cuisine qui se déplace légèrement en roulant. Michel, dans ses recherches sur l’Internet, croit que lors de la réparation à Red Bay AL, les techniciens ont oublié d’enclencher le frein du petit moteur électrique qui ouvre/ferme l’extension. Il procède avant notre départ à l’enclenchement. Quelques 80 km (50 milles) plus loin, nous nous arrêtons pour vérifier les résultats. Le problème semble résolu, une deuxième vérification à l’arrivée le confirme.  
Comme nous sommes stationnés à Naples depuis 1 mois, le départ est difficile. Il manque un peu d’espace pour déplacer avec aisance l’Allegro. Louise y parvient tout de même. Suit le remorquage de Blanche-Neige. Les lumières des feux-arrières ne fonctionnent pas. À notre aide sont venus les collègues campeurs dont notre bon ami Ron, maintenant golfeur mais qui, dans une autre vie, était camionneur long-courrier. Avec l’aide d’un ex-camionneur, ils ont tout tenté pour résoudre le problème, sans résultat, malheureusement. Demain, nous irons chez le concessionnaire Honda pour résoudre le problème.
Le déplacement s’est réalisé sans problème jusqu’à l’arrivée. Là, Louise a effectué un 360 degrés pour s’engouffrer dans l’entrée étroite du Kosy Kampers. Nous y voilà, sans surprise, mais un peu déçus tout de même des installations d’une autre génération de ce lieu de mouillage. Nous n’y demeurons que 3 nuits et avons l’avantage d’être proche de chez Jacques, frère aîné de Louise.
Comme il n'est pas prudent de nous déplacer avec la voiture dont les lumières des freins ne fonctionnent pas, Murielle et Jacques se déplacent pour nous rendre visite. Nous sommes très heureux de les revoir! Ils arrivent avec de magnifiques roses blanches et nous partageons ensemble des échanges chaleureux autour d'une bonne table.
 
Samedi le 2 mars — Blanche-Neige — An 3/Jr 273 — USA /J 130
Blanche-Neige nous a toujours donné d’excellents services sans jamais demander en retour ou si peu.
Dans les difficultés rencontrées hier, deux plutôt qu’une se sont juxtaposées. Un fusible sur l’Allegro empêchait le courant de voyager jusqu’au feu-arrière droit et la lumière de frein sur la gauche qui paraissait à l’œil bonne était déficiente. Nous avons été reçus chez Holman Honda avec empressement. La solution a été rapidement trouvée.
Comme il était temps de procéder à un changement d’huile, des filtres et la rotation des pneus, le tout dans un temps record nous permettant seulement de prendre le petit-déjeuner au restaurant voisin. Que de bons services chez ce concessionnaire ouvert un samedi! De retour au camping, nous procédons à la vérification de la réparation avec Blanche-Neige attachée à l’Allegro. Tout fonctionne. Merci à tous ceux qui y ont mis leurs efforts.   
Nous sommes attendus chez Jacques et Murielle pour le souper. Mal nous a pris de programmer sur le GPS Fort Lauderdale et Ocean Drive en lieu et place de Pompano et Ocean Boulevard. Nous avons visité et le port où séjournaient en rade des superbes bateaux de croisière, l’aéroport d’où s’envolaient de gros porteurs ainsi que le boulevard qui longe l'océan. Un trajet d’une quinzaine de minutes au retour aura pris plus d’une heure à l’allée. Pauvre GPS, pour bien nous servir il doit recevoir les bonnes données. «Garbage IN = Garbage OUT»! Sur la route, les détours nous permettent de visiter des endroits à découvrir!
Nous sommes toujours bien accueillis chez Murielle et Jacques. Les conversations ne manquent pas. Murielle est bien fière de nous montrer son IPad si convivial et si intéressant à utiliser. Le repas est excellent. Murielle trouve facilement de bonnes recettes sur son IPad, entre autres. Il faut ajouter qu'elle est une excellente cuisinière depuis fort longtemps. Merci pour votre généreux accueil.
Le retour ne prendra que 15 minutes... facile quand on sait où on va!

lundi 18 février 2013

Du 17 au 23 février

Dimanche le 17 février — Nuit fraîche Soleil timide — An 3/Jr 260 — USA /Jr 117
Nous sommes dans une petite dépression ou un cycle de basse pression, si vous avez peur de la première expression.
La température devient fraîche la nuit et ne dépasse pas les 20 degrés C. le jour. Mais à compter de mardi, les températures de jour comme de nuit reviennent à la normale pour ce temps-ci de l’année. Elles se situeront au-dessus de 25 degrés C. (25 à 28 degrés C.) le jour et au plus bas la nuit à 15 degrés C. (15 à19 degrés C.) pour la prochaine semaine. Plus que satisfaisant, somme toute, surtout en ayant une pensée pour les nordiques au-dessus du 45ième parallèle et un peu plus bas aussi.
D’abord, travaux d’intérieur. Lesquels? Recollage d’une moulure au plancher, vérification d’un commutateur de fermeture/d’ouverture d’un haut-parleur à la tête du lit, examen et réajustement d’une cloison séparatrice dans une armoire, mise à niveau du son ambiophonique du lecteur CD/DVD.
Louise ira à l’épicerie regarnir le frigo en fin d’après-midi. Le tout se fait sur un rythme lent de vacances à l’intérieur d’un voyage dit de vacances. Quelques communications vidéo/audio avec Colette et Marcel, Marc-André, Alphonse et Marie-Paule ainsi que Claire et Guy.
Repas du soir gastronomique à partir d’une recette glanée sur internet et signée Ricardo. Escalopes de veau à la sauce balsamique, servies sur lit de riz sauvage, accompagnées de brocolis et jumelées à une coupe de vin blanc. Notons que la nouvelle plaque à induction a été mise à contribution. Le Chef et la plaque ont reçu la note A (++)! Bravo Louise.
 
Lundi le 18 février — La toile de la grande fenêtre de la chambre à l’agonie — An 3/Jr 261 — USA /Jr 118
Elle ne se lève plus, elle ne s’abaisse plus, elle est toute croche dans la fenêtre qu’elle protège des rayons chauds du soleil ainsi que des regards indiscrets des voisins, s’il y en avait.
Aujourd’’hui, elle ne fait que partiellement son travail, une de ses cordes qui lui sert d’épine dorsale, a flanchée. Louise et moi opérerons à cœur ouvert le «sunshade» en détresse.
- 1ère étape : Décrocher la valence soutenue par 3 vis mal foutues;
- 2ième étape : Détacher les cordes à leurs extrémités;
- 3ième étape : Détachez la toile jour/nuit de la valence;
- 4ième étape : Enlever les cordes en mémorisant le plan de montage des 2 toiles juxtaposées;
- 5ième étape : Enficher les nouvelles cordes dans l’ordre et le respect du montage original;
- 6ième étape : Répéter à l’inverse les étapes 3, 2 et 1;
- 7ième étape : Rééquilibrer le tout dans la fenêtre de la chambre.
L’étape 7 nous était connue, nous avions fait réparer la toile en mai dernier chez le spécialiste à Lévis. Nous nous apercevons que cette fenêtre est aussi une issue de secours et que les poignées d’ouverture sont protubérantes. La solution simple est d’enlever les caoutchoucs qui recouvrent les poignées. Ainsi la toile n’aura pas, en remontée ou en descente, à se tordre pour passer cet obstacle. Autre solution copiée d’un campeur émérite est d’utiliser du fil à pêcher en lieu et place de cordes traditionnelles. Cette toile a une valeur inestimable à nos yeux, compte tenu des efforts qu’elle nous a demandés. Nous sommes tout de même fiers de notre réussite. À quand le prochain petit bidule à réparer, nous demandons-nous toujours!
Michel a un match de golf demain avec 23 autres résidants du camping. Donc, pratique en fin d’après-midi au terrain d’exercice.
Bonne nouvelle, la compagnie Tiffin a répondu favorablement à notre requête de prendre rendez-vous avec l’un de leurs concessionnaires à Naples pour procéder aux ajustements du «slide-out» qui n’est plus retenu lorsque fermé en situation de déplacement. Merci à la compagnie fabriquant de l’Allegro pour leurs bons services après-vente. Thank you Mr. Bob.
 
Mardi le 19 février — mi-février : soleil et golf — An 3/Jr 262 — USA /Jr 119
Pour un nordiste, quoi de mieux que de vaincre l’hiver par une température de 25 degrés C. en jouant une partie de golf en excellente compagnie. Ce fut le lot de Michel où les bons coups se sont faits plutôt rares, mais quand ils sont survenus, ils ont fait écarquiller les yeux de plusieurs. Merci à Ron et Betty de leur joyeuse compagnie.
Quant à Louise et Rosie, elles ont patiemment attendu le retour de Michel en parcourant les «outlets» abandonnés par plusieurs, portes closes… L’économie et ses malheurs!
 
Mercredi le 20 février — Autoroute — An 3/Jr 263 — USA /Jr 120
Nous empruntons l’autoroute numéro 75 que nous connaissons de mieux en mieux.
Nous nous rendons au service du concessionnaire Tiffin à Ft Myers afin d'obtenir un rendez-vous. Le fabricant de l’Allegro nous autorise à prendre rendez-vous avec ce concessionnaire pour faire ajuster correctement le «slide out» qui a été réparé à l’usine. Suite à nos explications, nos contraintes et le message écrit du responsable de Tiffin Motorhomes inc., le jeune homme de service doit en appeler à son supérieur. Une communication téléphonique suivra…
Nous effectuons un autre arrêt, cette fois-ci chez le réparateur venu ce matin changer une pièce sur un appareil de climatisation et de chauffage. Maintenant, c’est le temps de payer. Le service est bon et la facture pas trop salée quand même. 
L'apéro sur le patio termine bien cette journée.
Je passais sous silence notre escapade surprise chez nos amis Mrs. & Mr. Brown à Pine Island où nous les avions connus en 2011. Des retrouvailles surprises et sympathiques à l'image des habitants de l’Iowa. Nos salutations à Stan et Dave sont confiés aux Brown.
 
Jeudi le 21 février — Journée de décompression — An 3/Jr 264— USA /Jr 121
Toute journée utilisée à fonds de train nécessite une journée de décompression. Ce que nous avons fait aujourd’hui.
La seule activité au programme, activité non prévue, fut une pratique de golf en compagnie de Ron et Murray.
Sous un soleil de plomb, frapper 50 balles de pratique exige des efforts à notre âge.
S’en est suivi un «happy hour» avec nos invités.
Bon repos! À demain.

Vendredi le 22 février — Petite journée chaude — An 3/Jr 265 — USA /Jr 122
Le mercure oscille dans la seconde moitié des 80 degrés F. (29 degrés C.) accompagné de vents chauds.
Nos activités se limiteront à une petite sortie en bicyclette dans une piste bordée d’arbres apportant un peu de fraîcheur. L’autre activité a été une saucette dans la piscine à l’eau de mer pour Louise et de la lecture sous l’arbre à l’arrière de l’Allegro.
Demain, nous nous proposons de revisiter le «down town».
P.S. Des téléphones pour prendre des rendez-vous en mai avec nos médecins traitant ont fait «chou blanc». Toutefois, nous avons appris les dates où il est approprié de téléphoner à chaque endroit concerné. C’est déjà çà, n’est-ce-pas!
Nous sommes toujours en attente du téléphone du concessionnaire Tiffin Motorhomes inc de Fort Myers pour obtenir un rendez-vous avant notre départ pour la côte-Est de la Floride, le 1er mars.
 
Samedi le 23 février — Naples-Downtown — An 3/Jr 266 — USA /Jr 123
Nous consacrons notre après-midi de cette chaude journée agrémentée d’un vent du sud à la visite du Downtown de Naples, rien pour rafraîchir, croyez-moi.
Un peu comme à Berne (Suisse) où nous retrouvions en cascade, une banque, une chocolaterie, une bijouterie, ici nous retrouvons un restaurant, un restaurant, une terrasse-restaurant, une boutique pour touristes et parfois une banque.
L’atmosphère est à la fête avec tous ces gens du Nord venus glaner soleil et chaleur. La foule déambule avec calme cherchant l’aubaine. Dans ce domaine, le soleil est une valeur assurée!
Nous trouvons un petit restaurant-terrasse qui nous accueille encore pour servir le menu du «lunch», il était à cinq minutes près de clore cette offre…

lundi 11 février 2013

Du 10 au 16 février

Dimanche le 10 février — Randonnée à bicyclette — An 3/Jr 253 — USA /Jr 110 
En suivant les conseils de notre résidant et hôte francophone, Gaston, nous avons enfourché nos bicyclettes à partir du stationnement d’une grande surface tout près.
Nous nous sommes rendus à l’intersection de l’autoroute 41, suivant la piste cyclable longeant «Collier Boulevard». Nous avons circulé le long de développements domiciliés haut-de-gamme à accès limité. Quelques-uns de ces développements ont comme caractéristique d’abriter des terrains de golf privés.
Au nord du 45ième parallèle et un peu plus au sud aussi, les panonceaux indiquent de faire attention au passage des cervidés.
Ici, des panonceaux équivalents nous indiquent d’aviser les autorités si nous apercevons des panthères! D’autres indications informent où circulent habituellement ces gentils félins. Heureusement, la chaleur les gardant retranchés dans les sous-bois, nous n’avons pas été importunés. Le retour au stationnement s’est effectué par l’autre côté de la piste jalonnée, elle aussi, d’édifices de tout acabit. De nombreuses parcelles de terrain en déboisement annoncent la venue prochaine de développements de toutes natures.
De retour à notre site de camping, nous constatons que nous avons manqué la parade des «carts de golf» décorés pour l’occasion. En remplacement, nous avons eu droit, à un party à la piscine voisine de notre site; activité accompagnée d’une musique tantôt apaisante, tantôt bruyante. Le défaut avec les fêtards est que certains veulent que cela dure sans jamais s’arrêter, malheureusement pour les voisins!
   
Lundi le 11février — Travaux et plaisirs conjugués — An 3/Jr 254 — USA /Jr 111
Les filles ne se lèvent pas obligatoirement tôt, malgré le temps ensoleillé et invitant à la promenade à l’extérieur. Elles se couchent tard et pratiquent la récupération le matin. Le petit-déjeuner suit la promenade du chien pour les ablutions de Rosie. L’habitude et le conditionnement étant si bien acquis qu’elle me le demande directement pour ce faire. Cela fait en sorte que la journée de campeurs résidant que nous sommes pour les mois de janvier (Texas/Mercedes), février (Floride/Naples) et mars-à venir- (Floride/Lake Worth) commence vers les 10h00.
Michel a des courses à faire pour prendre livraison de pièces électriques chez un fournisseur grossiste. Il prendra une photo de Daniel l’employé venant de Mexico qui se souvient de ses leçons de français et qui souhaite visiter le Québec l’an prochain. Il en profitera pour prendre rendez-vous avec un centre de réparation de VR pour réparer la boîte de contrôle du climatiseur de la zone numéro 1 (partie avant). Quant à y être, un examen est demandé pour les 2 autres appareils. Le changement des filtres sera de rigueur à ce moment.
Louise a tôt fait de se mettre à l’ouvrage et elle a entrepris un nettoyage en profondeur de l’intérieur de l’Allegro. La douche sera de rigueur pour les deux travailleurs occasionnels que nous sommes. Le soleil toujours invitant amène Michel à se faire bronzer et Louise à lire sous l’arbre qui décore notre site à l’arrière de l’Allegro.
Les informations glanées ici et là nous indiquent qu’un «boui-boui» appelé «restaurant» sert des «dinners» particulièrement relevés. Nous prenons le risque de nous y aventurer. Quelle bonne initiative, le lundi un groupe de «blue grass» venant du Kentucky s’y produit. Nous aurons la chance de les entendre à l’intérieur du restaurant et sur le patio à la suite de notre repas. Si la nourriture est aussi bonne qu’on le dit, c’est que la foule a compris le message, il y a foule au concert. Le service est rapide et courtois. Nous mangeons des pétoncles servis sur du riz sauvage agrémentée d’une sauce délicieuse. Tous les mets, indique le menu, sont accompagnés de 2 autres sauces au choix, de pommes de terre en purée, de légumes, de pain au maïs, de cornichons et de condiments, le tout précédé d’une salade crémeuse. Une portion nous aurait été suffisante. Donc, la récompense à notre petit appétit est un gros «doggie bag».
Passons au concert sur le patio. Nous y rencontrons un couple qui habite la région de Buffalo dans l’État de New York. Elle, origine de l’Angleterre, lui de l’Irlande et se nomme, par pur hasard, Mike. Ils sont arrivés aux USA en 1951. Charmant couple d’ailleurs, peu américanisé, même dans leur habillement. Surprenant, après tout ce temps passé en terre d’Amérique. Elle mangeait en tenant toujours sa fourchette de la main gauche, vous voyez!
Un concert typique de la contrée campagnarde du Kentucky. On y observe la différence, comme entre le jour et la nuit, de la vie en ville et à la campagne et les valeurs que chacune y cultive. Nous avons acheté un des 6 CD qu’ils ont produits. Devinez le titre du CD choisi! Vous êtes tout près, vous brûlez d’impatience de le savoir, je vous fais la surprise demain. Non, tout de suite demandez-vous… O.K. d’abord, le titre du CD : «WALKIN’ the DOG»!
 
Mardi le 12 février — Délice pour la langue Supplice pour les doigts — An 3/Jr 255 — USA /Jr 112
Le régime de récupération du sommeil le matin se continue chez les filles.
Donc, un petit travail d’entretien, soit celui de nettoyer le réservoir des eaux noires suit le petit-déjeuner. Un e-mail à nos amis du Dakota du Nord, Joan et Jules. Nous les informons de notre passage dans les environs et tentons de trouver un temps de rencontre qui sied aux deux couples. Ils doivent déménager dans une nouvelle demeure en construction actuellement. Il vaut mieux surveiller les travaux, n’est-ce-pas! D’ailleurs, ils nous répondent dans les heures qui suivent notre communication. Nous trouverons ensemble une solution.
Nous choisissons d’aller vers Marco Island pour y jeter un coup d’œil. Les commentaires entendus sont excellents. Rien ne vaut la découverte par soi-même. Nous arrivons dans un paradis terrestre de vacanciers riches et célèbres. Le soleil inondait l’île et ses plages. Les couleurs pastelles de ses édifices, tantôt en hauteur, tantôt sur plein-pied, se mariaient harmonieusement aux espaces verts couverts de fleurs et de palmiers matures. Un monde où la vie paraît s’écouler sans souci.
La preuve, des pêcheurs qui tiraient la ligne le long des quais, laissaient flotter l’hameçon bien assis, tout en dévorant un livre qui paraissait enthousiasmant.
Quant à nous, nous nous sommes arrêtés dans une crémerie pour y déguster une glace. Délicieuse était la crème glacée qui pointait au bout du cornet, tout autant savoureux. Comme nous avions demandé à la serveuse un petit format, nous ne nous doutions pas que l’adjectif «petit», elle ne connaissait pas! La chaleur et le soleil aidant, nous avons maculé nos doigts, nos mains toutes entières, nos lèvres, notre bouche, notre visage et nos vêtements de cette crème nous suppliant d’être mangée avant de fondre. Le tout sur une petite terrasse au soleil sous les regards amusés des passants nous encourageant dans nos efforts d’en finir avec ce supplice sucré!
 
Mercredi le 13 février — Chaud et humide — An 3/Jr 256 — USA /Jr 113
La température de la journée a été chaude et humide. En preuve de nos avancés, nous avons pris le thé sur la terrasse à la suite du repas du soir. D’ailleurs Michel est revenu du champ de pratique exténué ou presque d’avoir frappé 50 balles. Vieillir, c’est pas toujours drôle!
Le reste de la journée a été consacré à la lecture et au repos. Une activité qui se fait au repos est l’identification des oiseaux. Hier, nous sont apparus juchés dans une immense tour, une colonie d’urubus à tête rouge accompagné d’urubus noirs. Ils planaient dans le ciel à la recherche de proies mortes ou vivantes.
Le matin, nous avions aperçu, sur la wagonnette du voisin un tangara vermillon. Dans les parages, nous observons souvent un pic à ventre roux et un moqueur polyglotte. Un temps de repos plus qu’intéressant!
 
Jeudi le 14 février — Une Saint- Valentin arrosée — An 3/Jr 257 — USA /Jr 114
Non, ce n’est pas ce que vous imaginez. Il a plu abondamment toute la nuit. Cela s’est continué une bonne partie de l’avant-midi. Le soleil nous a fait un clin d’œil, puis sur l’heure du souper, la reprise des bombardements de pluie. Notre projet d’aller manger au centre-ville sur une terrasse est tombé à l’eau! Je sais, c’est un peu facile comme jeu de mots. De temps en temps, il faut attraper la balle au bond.
Toutefois, la journée n’a pas été perdue. Comme l’information météorologique abonde et nous offre des pronostics précis, nous avions prévu le coup. La mise à jour du blogue, la planification du voyage jusqu’au 20 avril, les documents de préparation, le courrier à classer entre autres choses. Bref, une de ces journées où la pluie coopère. À l’inverse, nous coopérons avec la pluie. Bonnet blanc, blanc bonnet… Demain, comme dans une feuille de musique, les prévisions météorologiques disent : «Bis»!
P.S. Le tangara vermillon observé chez notre voisin et photographié par Louise est plutôt un cardinal rouge à l’analyse de ladite photo, pensons-nous. À vous d’observer la photo, maintenant…
 
Vendredi le 15 février — Prévisions météo exactes — An 3/Jr 258 — USA /Jr 115
Je vous l’avais souligné, les prévisions météorologiques abondent et sont très précises, malgré vos croyances. Une prévision, par définition, est toujours exacte. Elle ne garantit pas le résultat. De plus, quand le résultat est contraire à nos attentes, nous le croyons faux. La météo est devenue une science et n’est plus l’apanage des «diseurs de bonne aventure». Voilà pour mes croyances en ce domaine…
Que faisons-nous alors? Nous allons magasiner. Où? À Fort Myers dans deux magasins d’articles de camping pour VR. Nous en revenons les bras chargés d’une plaque à induction qui cuit sans chauffer! Oui, c’est bien vrai. Oui, il faut un aimant pour savoir si le plat contenant les aliments est apte à recevoir les ondes de la plaque.
D’autres bidules dont une plaque en silicone pour couvrir le fond d’une assiette chauffante demeurant dans le four micro-onde. Des «snaps» de réserve pour retenir les protège-pneus à l’Allegro. Enfin, une nouvelle capote pour couvrir les bicyclettes quand nous sommes sur la route. Celle que nous possédons est encore bonne mais quelque peu défraîchie.
Au retour deux arrêts, le premier pour se restaurer, dans un restaurant, il va de soi. Le second, chez le boulanger, pas un vrai parce que c’est un boulanger qui habite une grande surface!
P.S. À une analyse plus approfondie des photos de l’oiseau rouge qui nous visite tous les matins, nous concluons que notre voisin avait raison de le nommer un cardinal rouge ou «Northern cardinal». Voilà!
 
Samedi le 16 février — «Bis» à la journée d’hier — An 3/Jr 259 — USA /Jr 116
Temps frais et venteux, parfait pour visiter les «outlets» à la sortie 123 au retour d’une visite à Fort Myers.
Cette randonnée nous a conduits à l’achat d’une table à café pliante, d’un chaudron compatible à la nouvelle plaque à induction et d’un dîner tardif au «sea food schack». Les soupes et les salades y étant délicieuses.
Le retour s’est fait calmement dans la cohue d’une circulation calme mais importante en volume. Cela se traduit par nous n’étions pas seuls aux outlets et autres centres commerciaux. Il y a beaucoup de non-résidents en Floride venus chercher le soleil! Il faut savoir aussi qu’il n’y a pas d’impôts sur les revenus dans cet État. Vous comprendrez, par contre, que la taxe de vente compense, les visiteurs aidant, nous dit-on!

jeudi 7 février 2013

Du 3 au 9 février

Dimanche le 3 février — Le SUPER BOWL — An 3/Jr 246 — USA /Jr 103
Aujourd’hui, toute la fièvre des partisans des équipes qualifiées pour le Super Bowl se vit à travers les USA et ailleurs.
Cette rencontre de football professionnel revêt un cachet particulier. En effet, c’est un «happening» au niveau international. On le regarde, j’espère, pour les performances de ces gros athlètes d’abord, pour les exploits des artistes de la publicité qui s’en donnent à cœur joie pour attirer l’attention des consommateurs et enfin pour le «show» proprement dit de la mi-temps. J’ai fermé les lumières en même temps que celles qui ont fait défaut au stade de la Nouvelle-Orléans, en début de 2ième demie. Le score m’apparaissait désolant. Mal m’en pris, le résultat final a été excitant par une remontée de l’équipe perdante en première demie. Tant pis!
En avant-midi, nous avons complété la réservation de mars sur la côte Est de la Floride. Pas facile avec toutes les attentes que nous avons pour ce mois très occupé par les touristes recherchant le soleil. Nous avons fait une concession, soit celle de commencer le mois le 4 mars et le terminer le 4 avril. Lundi, on s’occupe des 1er, 2 et 3 mars.
La disponibilité raréfiée, par le jeu de l’offre et la demande, a tourné, en notre faveur, croyons-nous. Chanceux que nous sommes, comme toujours.
J’oubliais de vous dire qu’à la piscine du camping, notre presque 2ième voisin, plus bruyant celui-là, un spectacle «country/rock» ou «rock/country» divertissait les baigneurs. Heureusement, nous av
ons manqué la plus grande partie du spectacle because une randonnée en bicyclette. Je vous le disais, toujours chanceux!
 
Lundi le 4 février — Soleil en ou de vacances — An 3/Jr 247— USA /Jr 104
Que préférez-vous? Qu’il soit en vacances ou qu’il vous accompagne pendant vos vacances, c’est selon… Pour nous, notre pensée depuis le début de cette aventure est de «suivre le soleil».
Mais quand il nous oblige à le suivre derrière les nuages, à l’impossible nul n’est tenu. C’est la raison qui nous a poussés jusque dans les recoins de la Floride. Bonne décision pourrions-nous ajouter.
Aujourd’hui, quelques e-mails, une recherche de camping pour les 3 premiers jours de mars dans le secteur de Ft Lauderdale-by-the-Sea et nous avons trouvé. Le reste de la journée a été consacré à recevoir un résidant du camping pour nous expliquer les habitudes et lieux à découvrir. Merci Gaston.
Une dernière activité aura été d’apprivoiser une autre fois le nouveau B B Q. Apprivoisement complété ou presque! Bon appétit…
P.S. Les plus beaux «super bowls» sont fabriqués au «wood shop» du camping Llano Grande à Mercedez TX, n’est-pas Paul?
  
Mardi le 5 février — Vacance Vacance Vacance — An 3/Jr 248 — USA /Jr 105 
Poursuite de la vacance telle que décrétée. Le soleil nous accompagne toute la journée.
Louise est à la recherche tôt le matin d’un coiffeur. Le salon déniché accepte les clients/clientes sans rendez-vous. De plus, il se situe à peine à 4 milles de notre site de camping. La chance nous accompagne toujours, la coiffeuse dénichée a réalisé une excellente coupe de cheveux.
Nous voilà rendus à la correspondance du jour entremêlée de communications téléphoniques. Des e-mails à Fred, un ami rencontré à San Diego; un autre à la compagnie Tiffin pour corriger une mauvaise fermeture du «slide-out» réparé par eux en décembre dernier; un e-mail à Adrienne et Robert, un couple de Laval rencontré à San Diego, revu au Québec cet été, peut-être les reverrons-nous en Floride où ils sont présentement; un autre e-mail lancé à Hélène et Léonard pour donner et prendre des nouvelles…
Michel ne se sent pas très bien aujourd’hui, le repos au soleil sera de rigueur!
 
Mercredi le 6 février — Beau temps — An 3/Jr 249 — USA /Jr 106
Le résumé de la température est vite fait : beau temps, tout le temps! En chiffres, cela donne 25 à 27 degrés C. le jour, 15 à 16 degrés C. la nuit. Pas trop chaud le jour, confortable la nuit pour dormir. Dans cet environnement, la végétation est luxuriante et les fleurs magnifiques!
Heureusement, car un disjoncteur (breaker) protégeant le climatiseur dans la zone avant a rendu l’âme. Comme il est jumelé à celui protégeant le séchoir à linge, nous sommes allés chez le fournisseur en acheter un neuf. Peine nous en pris, il était en rupture de stock. Demain il le recevra et nous réparerons. Deux autres climatiseurs sont toujours fonctionnels et c’est sans parler des trois ventilateurs.
Par prudence, nous nous sommes présentés dans un magasin grande surface pour y acheter un liquide destructeur de «bibittes».
Rosie, elle s’énerve à la vue de ces petits lézards, pas si petits quand même et qui ose la narguer. Rappelez-vous la fable de LaFontaine «Le loup et le chien»!
 
Jeudi le 7 février — Déception — An 3/Jr 250 — USA /Jr 107
Nous recevons un appel vers les 11h30 du RV Center de Naples qui nous annonce que la pièce commandée, un disjoncteur pour la boîte électrique, est arrivée.
Vite, nous nous empressons d’aller la cueillir. Elle sert à protéger l’appareil d’air conditionné dans la zone avant de l’Allegro. Déception, ce n’est pas la bonne pièce. Retour à la maison tout penaud que je suis. Nous devrons retourner avec la pièce défectueuse pour en commander une nouvelle.
De plus, Rosie qui voyage avec nous est malade dans l’auto et ce pour une rare fois. Pauvre elle et pauvre de nous qui devons en arrivant au camping nous habiller d’électricien en nettoyeur de banquette d’auto. Les tarifs pour les proprios sont les mêmes. Combien pensez-vous?
P.S. C’en était un de trop, Michel a sombré dans un sommeil profond en après-midi…
 
Vendredi le 9 février — Succès et Revers — An 3/Jr 251 — USA /Jr 108
Nous nous rendons au distributeur de pièces de VR pour échanger le disjoncteur non compatible. Il ne peut nous approvisionner du bon modèle.
Par contre, il nous remet une adresse d’un fournisseur apte à nous approvisionner, pense-t-il. Malheureusement, ce dernier nous indique qu’il ne peut le faire. Mais, il nous guide, à un jet de pierre de son magasin, chez un autre fournisseur susceptible de réussir. En effet, nous retrouvons là, toute l’assistance dont nous avons besoin. De plus, nous y trouvons la vraie Amérique issue de l’immigration ouverte au Monde. Merci aux latinos présents et si vivants, à Daniel en particulier. Lundi, la pièce sera livrée.
Malheureusement, dans nos investigations supplémentaires, nous nous apercevons que le disjoncteur coupable est sans tache. La boîte de contrôle de l’air climatisée/pompe de chaleur est en train de fondre. Il nous reste à trouver un expert en ce domaine pour réparer la boîte de contrôle coupable de cet incident. Quant à y être. nous ferons faire une inspection des deux autres pompes et procéder au renouvellement des filtres y contenus.
Nous sommes chanceux, l’odorat développé de Louise a limité les dégâts. Le feu aurait sans doute fait des dommages plus importants, nous en sommes certains. Merci à vous tous, nos Anges gardiens!
Outre ces petits désagréments, le soleil nous a accompagnés toute la journée. Quelle belle vie que le nomadisme post-moderne!
 
Samedi le 9 février — La plage de Naples — An 3/Jr 252 — USA /Jr 109
Rendez-vous à la plage de Naples en début d’après-midi par temps ensoleillé et chaud.
Quinze km à parcourir en ligne droite sur «Davis Boulevard» avant d’atteindre le quartier cossu de «Gulf Shore Boulevard» à un jet de pierre d’une entrée sur la plage. Il reste à trouver un stationnement ce qui n’est pas facile, mais nous en avons déniché un.
Comme nous ne sommes pas des parfaits baigneurs, notre attirail est limité. Qu’à cela ne tienne, il y aura d’autres lendemains pour se procurer un parasol, son allonge, son pied, un bac refroidisseur (cooler) et des chaises de plage. Pour transporter tout cela, nous avons le choix entre louer les services d’un transporteur ou acheter une remorque, peut-être? Et cela, sans parler qu’il faudra ranger tout ce matériel au sous-sol par la suite. Bonne chance!
Le soleil est bon, la brise rafraîchit son effet de chaleur. Deux heures à se tourner, se retourner et se reretourner pour «cuire» également le jambon. Que d’efforts pour avoir un teint qui se confond à la majorité des baigneurs.
Parlant de baigneurs, sur cette plage de sable blanc nous n'apercevons que des personnes calmes et tranquilles venues chercher la fraîcheur du large. Quelques exceptions se promènent affichant leurs maillots de bain et leur teint bronzé. Des grands-parents, faisant office de service de garde, ont amené leurs petits-enfants à la plage.
Retour par le centre-ville de Naples, plus que cossu, où en cette fin d’après-midi du samedi, les terrasses se remplissent rapidement. Vous aurez aussi deviné que la circulation dans le «down town» s’en trouve perturbée. Nous voilà de retour pour l’apéro à notre site de camping.
Michel a déniché un champ de pratique de golf à moins de 5 km. Ce fut l’activité qui a précédé «l’activité plage».