Dimanche le 2 septembre — Plein de visites en cette
Fête du Travail — An 3/Jr 92 — CA /Jr 140
Quel bonheur que de partager cette journée de fête soulignant le Travail avec les personnes que nous aimons et que nous apprécions. À vrai dire, c’est seulement demain que nous devrions fêter cet évènement annuel. Mais aujourd’hui, nous faisons tout comme si nous y étions.





Marcel a développé une complicité avec le copropriétaire, Jean-Yves, qui lui fait découvrir un trésor de vieux «pick up» qu’il a restauré lui-même. Il s'agit d'un camion léger, double-roues, de marque Fargo, modèle 1939, d’un rouge pompier éclatant.
Le traditionnel feu de fin de soirée est toujours de la responsabilité de Marcel qui s’acquitte de cette tâche avec empressement et habileté.
Lundi le 3 septembre — La Fête du Travail — An 3/Jr 93 — CA /Jr 141
Tout cela commence par une invitation à déjeuner au restaurant.

De retour au Parc, ils préparent leur départ. En campeurs expérimentés, en 2 temps et 3 mouvements, ils roulent vers une autre destination. Peut-être les reverrons-nous seulement dans deux ans, compte tenu de notre projet de vivre le prochain été dans l’ouest canadien? L’avenir nous le dira…
Nous sommes heureux d'avoir passé de si bons moments auprès d'eux.

La température continue à collaborer et les prochains jours semblent à l’avenant aussi.
Michel a commencé son travail de responsable de l’accueil et du stationnement des nouveaux campeurs. Il en a accueilli deux et tout cela s’est déroulé dans les règles de l’art. Comment pourrait-il en être autrement?
Comme notre capteur satellite fonctionne comme une petite merveille, nous écoutons en fin de journée une émission télévisée mettant en vedette le ténor Luciano Pavarotti en duo avec plusieurs vedettes populaires dont Céline Dion, entre autres.
Mardi le 4 septembre — Peu de travail — An 3/Jr 94 — CA /Jr 142
La nouvelle fonction de Michel nécessite peu de travail et encore moins d’efforts.

Les petits travaux vont bon train, mais comme toujours, grugent du temps! Le B-B-Q est réparé et il est maintenant très fonctionnel. Cela a nécessité l’achat d’un nouveau régulateur de gaz. Si nous le remplaçons, nous attendrons voir l’équipement offert aux U.S.A. La liste s’épuise comme le travailleur. La température a paru incertaine aujourd’hui, mais sans pluie quand même.
Un voyageur raconte à Michel ses péripéties de son voyage dans l’ouest jusqu’en Alaska. Cette destination, c’est un «pensez-y bien» selon lui, en regard du matériel que nous possédons. À suivre…
Mercredi le 5 septembre — Planification modifiée — An 3/Jr 95 — CA /Jr 143
Michel avait un rendez-vous à Québec à 8h00 a.m. jeudi matin, voilà la raison qui nous faisait demeurer à Bécancour jusqu’à vendredi. Ce rendez-vous aura lieu seulement lundi, le 10 septembre à 13h30. La promenade jusqu’à Québec sera plus longue du double. La maladie est la raison qui cause cet ennui, alors il faut comprendre.

Notre petite Honda a l’essuie-glace de la lunette arrière immobilisé because un fusible grillé. C’est un fusible de très petite dimension. Michel le remplace et le tour est joué. De plus, il se procure un «kit» de fusibles appropriés «au cas où»….
Louise vaque à des occupations à l’intérieur en plus de promener Rosie qui est une excellente marcheuse. Un parcours sécuritaire de 2,9 km contourne le club de golf qui jouxte le parc de motorisés.
La soirée est consacrée au cinéma. Nous nous rendons au centre commercial voir un film mettant en vedette Meryl Streep, actrice d’origine australienne que nous aimons particulièrement, Louise et moi. Film tiré au hasard racontant les problèmes d’un couple vieillissant qui rencontre un conseiller matrimonial au grand désespoir du mari. Ne vous inquiétez pas, c’est un film avec une fin toute américaine, une fin toute en douceur et heureuse de surcroît!

P.S. Le titre du film pour les intéressés, «L'espoir est à Hope Springs».
Jeudi le 6 septembre — De la visite rare — An 3/Jr 96 — CA /Jr 144
Michel avait un rendez-vous aujourd’hui à 8h00. Comme je l’ai mentionné hier, il a été reporté à lundi. Nous convenons, Louise et moi, de se rendre à Lévis quand même car il y d’autres choses jumelées. Le départ sera moins hâtif, vous en conviendrez!
Michel avait un rendez-vous aujourd’hui à 8h00. Comme je l’ai mentionné hier, il a été reporté à lundi. Nous convenons, Louise et moi, de se rendre à Lévis quand même car il y d’autres choses jumelées. Le départ sera moins hâtif, vous en conviendrez!


À la lecture du blogue Ghislain et Andrée ont appris notre séjour à Bécancour, moins de 50 km de leur domicile. Les voilà en route pour nous faire la surprise, et quelle surprise! Il faut vous raconter qu’à l’automne dernier, nous avions oser les surprendre quand ils ramassaient des feuilles à la pelle.

La visite s’est prolongée en soirée et nous avons partagés un frugal repas arrosé de bon vin comme dans toute réunion remplie d’amitié, de projets communs et d’intérêts plus que voisins. Merci à vous deux de votre présence, beaux plaisirs dans vos projets de voyages d’automne et d’hiver, bonne santé et poursuivez les rêves qui vous animent en les transformant en réalité.
Poursuivez cette quête de bonheur qui saura réjouir votre cœur et répandra la joie de vivre autour de vous, particulièrement chez ceux que vous sont chers... Vous irez aussi loin que vous «OSEREZ OSER»!
Vendredi le 7 sept. — De la route, de la route, de la… — An 3/Jr 97 — CA /Jr 145
Hier, durant le retour de Québec, Michel a reçu un appel du bureau du médecin spécialiste en cardiologie qui souhaite le rencontrer ce matin à 8h50. Allons-y pour une autre promenade de très bonne heure !
Levés à 5h30, céréales croquées en vitesse, promenade matinale de Rosie et hop dans l’auto, souhaitant que pont traversant le fleuve se fasse collaborateur en cette heure matinale. Tous nos souhaits sont exaucés, malgré un épais brouillard présent durant une grande partie du trajet.
Le déplacement en valait la peine puisque les résultats du dernier examen d’imagerie en médecine nucléaire sont plus que satisfaisants. Le verdict du cardiologue est que le cœur se porte encore mieux qu’au dernier examen. Rassurant, n’est-ce-pas!
Retour à Bécancour par la même voie d’accès. Préparation du départ vers Bromont, notre dernier arrêt avant notre pèlerinage outre-frontière.
Il est 12h45 quand nous quittons le Parc de motorisés Godefroy. Nous avons remercié les proprios et hôtes de notre séjour dans ce magnifique emplacement jouxtant le magnifique fleuve St-Laurent et l’audacieuse structure du pont Laviolette réunissant les deux rives.
Le départ s'effectue en douceur, la sortie de l’emplacement avec élégance... because la barrière rend l'espace exiguë... le tout sous l’œil curieux d’un foursome de golfeurs masculins au 12ième départ du club de golf Godefroy à Bécancour. Ébahis, furent-ils! Bravo encore Louise!
Notre préoccupation actuelle est de faire le plein de gazole (fuel). Quelques essais infructueux avant de nous diriger sur l’autoroute 55 Nord via l’autoroute 10 qui nous conduit directement à Bromont. Nous trouvons enfin à Drummondville la station service qui nous sert le gazole (fuel) nécessaire pour le dernier tronçon en terre québécoise.
Arrivée en douceur aussi dans ce lieu connu par une visite antérieure au début de l'été. L'enregistrement réalisé, nous filons à l’emplacement désigné, guidés par une voiturette nous servant d’escorte. Seul problème à l’horizon, les arbres qui nous entourent rendront la vie difficile à la coupole pour détecter le satellite correspondant à notre récepteur d’ondes.
Nous sommes fatigués et profitons d’une soirée calme pour se coucher tôt. Bonne nuit à vous tous, aussi!
Samedi le 8 septembre — Désastre évité — An 3/Jr 98 — CA /Jr 146
Journée lourde faite de chaleur humide. Nous nous reposons en avant-midi pour mieux travailler en après-midi, pensons-nous.
Louise reçoit un appel téléphonique d’une amie et ancienne collègue, cela dure le temps qu’il se doit. Par la suite, elle s’adonne à une passion qui revient hebdomadairement, le ménage de l’Allegro... Michel s’amuse avec ses bricolages, comme à l’habitude.
À l’heure du repas du soir la prévision de cellules orageuses se matérialise. Et quelle cellule dans le coin de Bromont!!! Vents et orages de fort calibre nous surprennent. Quand je parle de surprise, nous en avons eu toute une! Pendant la courte durée du plus fort de ces vents, un arbre entourant notre site s’est écrasé sur la paroi du motorisé, côté conducteur.
Michel, étant sorti quelques minutes auparavant, revient en même temps qu’un employé du camping venu constater les dégâts. Compte tenu de la violence des vents et de la pluie, nous examinerons de plus près l’ampleur des avaries demain à la première heure.
Un premier constat nous fait croire que les dommages se limiteront à faire disparaître les graffitis laissés sur la peinture par les branches de l’arbre tombé. Souhaitons qu’il en soit ainsi. À suivre…

Le déplacement en valait la peine puisque les résultats du dernier examen d’imagerie en médecine nucléaire sont plus que satisfaisants. Le verdict du cardiologue est que le cœur se porte encore mieux qu’au dernier examen. Rassurant, n’est-ce-pas!
Retour à Bécancour par la même voie d’accès. Préparation du départ vers Bromont, notre dernier arrêt avant notre pèlerinage outre-frontière.

Le départ s'effectue en douceur, la sortie de l’emplacement avec élégance... because la barrière rend l'espace exiguë... le tout sous l’œil curieux d’un foursome de golfeurs masculins au 12ième départ du club de golf Godefroy à Bécancour. Ébahis, furent-ils! Bravo encore Louise!

Arrivée en douceur aussi dans ce lieu connu par une visite antérieure au début de l'été. L'enregistrement réalisé, nous filons à l’emplacement désigné, guidés par une voiturette nous servant d’escorte. Seul problème à l’horizon, les arbres qui nous entourent rendront la vie difficile à la coupole pour détecter le satellite correspondant à notre récepteur d’ondes.
Nous sommes fatigués et profitons d’une soirée calme pour se coucher tôt. Bonne nuit à vous tous, aussi!
Samedi le 8 septembre — Désastre évité — An 3/Jr 98 — CA /Jr 146
Journée lourde faite de chaleur humide. Nous nous reposons en avant-midi pour mieux travailler en après-midi, pensons-nous.
Louise reçoit un appel téléphonique d’une amie et ancienne collègue, cela dure le temps qu’il se doit. Par la suite, elle s’adonne à une passion qui revient hebdomadairement, le ménage de l’Allegro... Michel s’amuse avec ses bricolages, comme à l’habitude.

Michel, étant sorti quelques minutes auparavant, revient en même temps qu’un employé du camping venu constater les dégâts. Compte tenu de la violence des vents et de la pluie, nous examinerons de plus près l’ampleur des avaries demain à la première heure.
Un premier constat nous fait croire que les dommages se limiteront à faire disparaître les graffitis laissés sur la peinture par les branches de l’arbre tombé. Souhaitons qu’il en soit ainsi. À suivre…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire