Nous voilà de retour à Québec!

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mardi 21 février 2012

Du 19 au 25 février

Dimanche le 19 février — Palm Springs Art Museum — An 2/Jr 262 — USA /Jr112
Comme première aventure culturelle, nous sommes allés au Musée d’Art de Palm Springs. Nous sommes dans le centre-ville où abondent restaurants et boutiques de toutes sortes. La température collabore bien peu quand on la compare à la journée précédente, décrite comme extraordinaire. Aujourd’hui, venteux avec un soleil timide. Les éoliennes, par ailleurs, s’en abreuvent goulument…
Ce musée est relativement récent et de belle facture. Contrairement à ceux visités à Chicago et Washington, la démesure est moins présente. Les expositions sont intéressantes et diversifiées. On y retrouve, entre autre, l’exposition «Oasis» qui traite des maisons de personnes riches et célèbres et de leurs piscines et parfois de leurs invités(ées)! C’est ainsi que Jane Mansfield et Marilyn Monroe décorent les murs de leurs photos.
Un étage est aussi consacré à des pièces autochtones et le sous-sol au théâtre. Une dernière exposition qui se veut une fenêtre sur le «modernisme» s’intitule :  « Rage¥us ».  De nombreuses pièces de verre soufflé sont à l’honneur ainsi que le chien «Snoopy» des bandes dessinés. Restaurant/café et magasin complètent le décor.
Nous nous arrêtons à un «coffee shop» pour nous y abreuver et déguster un morceau de gâteau au gingembre. Un pur délice!
P. S. Nous comprenons mieux maintenant l’emplacement des éoliennes. Les vents sautent les montagnes et créent une dépression qui balaie le sol avec vigueur. Même notre petite Blanche-Neige, toute menue, subit le contrecoup de ces vents furieux!

Lundi le 20 février — Une journée sans émotion — An 2/Jr 263 — USA /Jr 113
Louise se livre à un nettoyage en profondeur du Camino because elle veut prendre des photos pour la parution de l’annonce de vente sur le Web. Il faut aussi s’occuper de l’éclairage et libérer les comptoirs, le temps des photos.
Quant à Michel, il s’assure à l’aide de l’ordinateur, par des recherches sur le Web, du coût réel des transferts de fonds, pour la transaction de l’Allegro. Compte tenu des taux de change du dollar canadien qui fluctuent, cela représente quelques milliers de dollars d’économie potentielle. Il faut demeurer prudent et averti.
En vous parlant de Rosie, elle a fait un tabac par sa première présence au «dog run», comme c’est son habitude, d’ailleurs. En début de soirée, une gastro est soudainement apparue. Ceci n’est pas dans ses habitudes. Le remède prescrit est simple, repos et jeûne jusqu’à demain. Nous aviserons par la suite. Entretemps, nous croisons les doigts!

Mardi le 21 février — Commençons par le commencement — An 2/Jr 264 — USA /Jr 114
C’est une journée magnifique. Le soleil est dehors bien avant nous. Nous le rejoignons assez tôt, quand même. Rosie va mieux, mais n’est pas encore sortie du bois. Le jeûne se poursuit. 
Ce matin, ce sont les douches qui priment. Nous regardons la possibilité d’une visite guidée de Palm Springs. Il y aussi le lavage de vêtements dont Louise se charge. Rappelons-nous que notre nouvelle imprimante se pointe le nez en magasin aujourd’hui et espérons la batterie du «routeur» aussi…
Michel est engagé à retrouver un «little red campfire» sans bosse. Et bien oui, le contrôle de qualité chez le fabriquant de notre feu de camp au gaz propane laisse à désirer. Les boîtes d’emballage sont intactes et le couvercle du feu a une grosse bosse sur le front de 5 cm (2’’).
Nous irons l’échanger à San Bernardino et y casserons la croûte au «Coco, Restaurant & Bakery». Excellent repas dans une atmosphère familiale où la nourriture, le service et le décor sont à la hauteur de nos attentes. Le prochain gueuleton devrait se prendre au restaurant «Pomme Frite», propriété d’un immigrant belge. Souhaitons que le menu soit garni de moules et de bonnes bières belges itou! À demain.
P.S. Louise a dégusté une salade verte comme entrée suivi d’un filet de saumon accompagné de légumes frais. Michel s’est laissé tenter et a succombé devant un steak de surlonge délicieusement nappé d’une sauce au whisky. La soupe aux oignons avait précédé le délicieux steak. Pas de dessert pour les gourmands. Les portions sont vraiment trop généreuses pour nous permettre ce caprice.

Mercredi le 22 février — Du soleil et de la chaleur — An 2/Jr 265 — USA /Jr 115
Du soleil toute la journée et la chaleur qui vient avec, c’est merveilleux.
Nous complétons l’information pour transmettre une annonce de la vente du Camino sur les Pacs (réseau québécois d’annonces classées sur le Web). C’est à la fois très efficace, peu dispendieux et se travaille aisément à distance, la preuve nous est faite!
Nous complétons la journée par l’observation que l’Allegro est vendu, nous en sommes les heureux propriétaires à distance. Il nous attend sagement, nous le savons. Quoi de mieux en cette belle journée que d’aller bénéficier des bains thermaux qui encerclent la piscine. Un brin de lecture au soleil suit.
La soirée se termine par le baptême de notre petit feu de camp au gaz propane sous un ciel étoilé sans le moindre vent. La température ambiante voisine toujours les 20 degrés C. à cette heure tardive, quelle douceur de vivre! Bonne nuit.

Jeudi le 23 février — Soleil, tramway, émerveillement, éblouissement — An 2/Jr 266 — USA /Jr 116
Une journée consacrée à aller jouer dehors sous le soleil.
Mais comme il y a toujours quelque chose de sérieux d’abord, Louise a partagé un «café-internet» avec Suzanne, son ex-étudiante. Cette dernière accumule, depuis le dépôt de sa thèse, succès après succès. Bravo à toi Suzanne. Comme elle l’expérimente sûrement, le succès, cela se paie par le travail! N’est-pas-Suzanne?
Michel rectifie la tablette au-dessus de la laveuse/sécheuse qui sert à ranger plein de choses. Bien lui en fait, une boîte de métal a glissé le long de l’appareil, mais à l’arrière.  Il fut plus long de la récupérer que de réparer la tablette.
Allons, préparons-nous pour monter à la montagne par le téléphérique qui tourne sur 360 degrés dans son ascension et nous amène jusqu’à 8516’ d’élévation. Quelle surprise pour plusieurs petits minois d’apercevoir, que dis-je, de découvrir la neige pour une première fois. Des bonhommes de neige, à leur dimension, ont tôt fait d’être sculptés avec l’aide des parents et de bénévoles retournés à leur enfance pour un instant…
Dans cette promenade au haut de la montagne, nous faisons la connaissance de deux couples d’agriculteurs de Windsor, au sud de l’Ontario (Canada), les Desmarais et les Poisson. Belle rencontre que cette dernière, avec plein de sympathie et d’authenticité. Bravo à vous les Desmarais et les Poisson. Bonne continuité de voyage.
La chose la plus surprenante que j’observe du haut de la montagne est le visage dénudé de cette ville vue d’en haut. Le désert qui l’entoure, décoré d’éoliennes surdimensionnées et de panneaux solaires, marquent le pas. Alors qu’au sol, cette ville, d’une richesse incroyable, nous montre des splendeurs, tant au plan culturel, architectural qu’au plan nature. Quelle découverte! En est-ce vraiment une? Que la nature ait plus d’importance que ce que réalise l’homme, aussi grandiose soit sa réalisation?
Dans le parcours qui nous ramène à la maison, l’épicerie s’impose à nous. Nous complétons notre journée extérieure par l’apéro pris sur le patio. Aujourd’hui, ce sera un feu de camp «nature». En effet, au-dessus de nos têtes à l’horizon se déploie le soleil de fin de journée. C’est un flamboyant feu de couleurs dans un arc-en-ciel de teintes et de formes. Que vous disais-je préalablement, la nature reprend ses droits, quoi que nous fassions!

Vendredi le 24 février — Problème résolu — An 2/Jr 267 — USA /Jr 117
Notre système de télécommunication était déficient. Notre «routeur» ne joue plus son rôle comme il le devrait. Il s’est même arrêté de fonctionner complètement depuis près de 2 semaines. Nous croyions que la batterie était en cause. Une nouvelle batterie n'a rien changé à ce fait.
Nous avons pris le taureau par les cornes et nous avons souscrit à un contrat avec une firme américaine. Nous aurons, en entrant au Canada le loisir de modifier le contrat qui nous lie à notre fournisseur canadien après qu’il ait réparé le «routeur» qu’il nous a vendu. Quant au «routeur» américain, il peut être mis en vacances pour la modique somme de 5$/mois durant nos séjours au Canada.
Louise a mis en réseau nos ordinateurs, nos I-Phones et notre imprimante. Nous pouvons donc imprimer à partir de chaque appareil distinctement. Quelle belle amélioration, n’est-ce-pas! De plus, cela se fait sur notre ancienne imprimante. Bravo à Louise pour ses talents d’informaticienne et pour ses efforts constants qui mènent à la réussite!

Samedi le 25 février — Il y a tant à faire — An 2/Jr 268 — USA /Jr 118
Jamais un brin de répit dans cette vie de nomades que certains pensent être des vacances. Allez voir!
Nous rétablissons la communication auditive et visuelle avec la famille. Marcel et Colette sont au rendez-vous accompagnés de Réjean, leur fils aîné. Ce dernier est allé à Palm Springs l’an passé. Il nous raconte ce qu’il y a vu. C’est tout à fait ce que nous avons sous les yeux. Quelle heureuse coïncidence!
Encore aujourd’hui la température excède les 80 degrés F. Michel en profite pour frapper des balles de golf au champ d’exercice d’un terrain de golf à proximité. Le terrain de golf sur le camping n’offre pas ce service. Il y a longtemps que les outils ont été utilisés, les élans sont erratiques, la réussite est «so so»! Cela encourage à y retourner, certains coups ont été réussis...quand même! De plus, aucune douleur au tendon d’achille n'a été ressentie... guérison en vue!
Louise s’acharne à compléter et le blogue,  les comptes et les courriels urgents. Cela est sans parler du coiffeur et du «groomer» avec qui il faut prendre rendez-vous, dès jeudi, à Yuma.
Il reste la douche pour Michel, car nous allons dîner au restaurant «Pomme Frite» dans le centre-ville de Palm Springs. C’est un restaurant belge tenu par un pur belge originaire de la région de Spa dans les Ardennes. Je vous en raconterai plus demain…
J’oubliais, en nous rendant au restaurant, nous avons restitué l’imprimante qui ne faisait rien de plus que celle que nous possédions! Une belle économie d’espace, de poids et de sous.
P.S. Je vous mets au défi de me dire, sans rire, qui, des deux filles, a rendez-vous chez le «groomer»?
Un indice qui en est pas un, celle qui va chez le «groomer» reçoit une évaluation écrite et se mérite une récompense si l’évaluation est bonne. Devinez, maintenant c’est facile, je vous ai presque donné la réponse.
Cette fois, il n’y a pas de récompense pour la gagnante ou le gagnant, même pas une photo sur le blogue!

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